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Les bouquets d'amour éternel !

lilasys

Maître Poète
#1
Les bouquets d'amour éternel !

Un bouquet de fleurs fait de petits riens
Où reposent des maux d'amour murmurés par le vent
Sur un bout de coeur éventré d'épines d'airain
Marbré sur la pierre qu'immortalise le cri de l'enfant

Un bouquet de fleurs dans sa petite main
Bridé d'un folklorique serpentin à pois blancs
N'égaie pas le sentier funèbre qui mène au chagrin
Le front contre la grille rouillée du passé, au présent

Un bouquet de fleurs bariolé d'un dessin
Celui que le bout des lèvres a baisé tendrement
Garde à jamais les empreintes comme témoin
De ce jour où il fut crucifié par la voix de l'absent

Un bouquet de fleurs vieilli au parfum de jasmin
Cueilli sur les murs décorés de la maison affectionnant
Les antiquités en veille entre horloge et baldaquin
Celles qui vivent, revivent et survivent aux survivants

Un bouquet de fleurs d'un âge plus que certain
Entre les doigts camouflés sous de vieux gants
Il oublie les saisons blanchissant le châtain
Les années survolent les douleurs, les rages de dents

Un bouquet de fleur pour un séraphin
Ce mirage fait de douceur, d'un regard apaisant
Ces nuits d'orage bercées par ce clandestin
Pour une môme perdue un hiver sans Maman .

LILASYS

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luron1er

Administrator
Membre du personnel
#2
Juste pour des jeux d’esprit.

***

De mon bosquet d’humour sempiternel.

De mon bosquet en sueur, je fais des p’tits biens,
Je dépose mes mots d’humour suggérés bien souvent,
Sur le cou de ma sœur, inventée la mine dans ma main,
Mal armé de ma rapière, j’immobilise son écrit si touchant.


De mon bosquet en sueur, je pense à demain,
Blindée, l’onirique te sert en tain, ce poids grand,
J’essaie comme un rentier célèbre qui amène les entrains,
Qui défont les aiguilles souillées repassées des absents.


De mon bosquet en sueur, auréolé de ton destin,
Celle des à coups de l’élève pour biaiser calmement,
Regarde encore les traces, en trouve un peu moins,
Pour toujours te sanctifier sur la voie des présents.


De mon bosquet en sueur rafraîchi aux arômes des copains,
Rajeuni en murmures ornés d’oraisons salutaires enjouant,
Sans critiquer les vieilles dans les loges, pipelettes en vain,
Celles plus vives, comme les grives sur la rive de l’instant.


De mon bosquet en sueur, le sage est incertain,
Dans l’endroit, essoufflé comme un jeune élégant,
J’en omets les raisons, franchissant tes quatrains,
L’émoi s’envole en couleurs et dégage en vents.


De mon bosquet en sueur, comme un p’tit séraphin,
Ce cirage refait tes douleurs de mon œil plaisant,
L’ennui et la rage gercés dans un camp de thym,
Pour ta pomme éperdue, de mes vers émanant.



Bisou
 

lilasys

Maître Poète
#3
Juste pour des jeux d’esprit.

***

De mon bosquet d’humour sempiternel.

De mon bosquet en sueur, je fais des p’tits biens,
Je dépose mes mots d’humour suggérés bien souvent,
Sur le cou de ma sœur, inventée la mine dans ma main,
Mal armé de ma rapière, j’immobilise son écrit si touchant.


De mon bosquet en sueur, je pense à demain,
Blindée, l’onirique te sert en tain, ce poids grand,
J’essaie comme un rentier célèbre qui amène les entrains,
Qui défont les aiguilles souillées repassées des absents.


De mon bosquet en sueur, auréolé de ton destin,
Celle des à coups de l’élève pour biaiser calmement,
Regarde encore les traces, en trouve un peu moins,
Pour toujours te sanctifier sur la voie des présents.


De mon bosquet en sueur rafraîchi aux arômes des copains,
Rajeuni en murmures ornés d’oraisons salutaires enjouant,
Sans critiquer les vieilles dans les loges, pipelettes en vain,
Celles plus vives, comme les grives sur la rive de l’instant.


De mon bosquet en sueur, le sage est incertain,
Dans l’endroit, essoufflé comme un jeune élégant,
J’en omets les raisons, franchissant tes quatrains,
L’émoi s’envole en couleurs et dégage en vents.


De mon bosquet en sueur, comme un p’tit séraphin,
Ce cirage refait tes douleurs de mon œil plaisant,
L’ennui et la rage gercés dans un camp de thym,
Pour ta pomme éperdue, de mes vers émanant.



Bisou
Merci ! Bisous