Me voilà seul à traverser les rues de ville,
Où nul bruit ne vient déranger ce lourd silence...
Pavés crasseux, détaché, où gisait une fille,
À mon simple contact, je fis comme une renaissance...
Un visage pourtant anonyme mais m'inspirant,
Une Sympathie ? Une légère brise se fit sentir,
Viens avec moi retrouver notre flamme dansante,
La réponse fut courte, approbation et sourire...
Ensemble arpentant les funestes chemins du destin,
Où ne régnait que sanglots et les pires douleurs...
Pavés sanglants, vois cette lumière qui s'éteint,
Quand t'es rêves sombrent et que tu vois tout en pâleur...
Ces douloureuses épreuves nous ont permis à deux,
D'entrevoir nos démons et nos chaînes du passé,
Ce ne fut qu'une promesse faite dans l'intimité,
Une promesse en espérant vivre mieux...
Ensemble nous longeons les jardins de nos enfances,
Rire d'enfants, cris d'effroi, pleurs si seul... Et silence...
Herbes vertes, quelques occupations... Pas d'ennui...
Sur leurs têtes, une épée de Damochles luis...
Le jour habité par leurs petites présences...
La nuit hanté par leurs fantôme... Où tout est sombre...
Nos visages à moitié caché par cette ombre,
Nos sourire tel de fragile plat de faillance...
Nous reposant centre-ville près d'un musicien,
Émerveillé par les doux sons de son violon,
Nous en oublions l'énigmatique demain,
Laissons nous envahir par ce que nous vivons...
Et tant que l'on y est, pourquoi ne pas danser,
Ensemble, nous deux embarqué dans cette valse féerique...
Dansons ensemble afin d'oublier notre passé...
Mais... Qu'elle est ce sentiment énigmatique ?
Ensemble riant près des champs fleuris de pensées,
Blanches... Qui n'auront pas ternis au fils des années...
Malgré toutes les épreuves que nous avions du endurées,
Cet étrange sentiment, aujourd'hui, c'est révélé...
Mon cœur tel un ardent brasier amoureux,
S'ouvre à toi et te révèle sa flamme sentimentale,
Toi qui représente tant de choses à mes yeux...
Espérons juste que l'amour n'est pas chose létale...
Où nul bruit ne vient déranger ce lourd silence...
Pavés crasseux, détaché, où gisait une fille,
À mon simple contact, je fis comme une renaissance...
Un visage pourtant anonyme mais m'inspirant,
Une Sympathie ? Une légère brise se fit sentir,
Viens avec moi retrouver notre flamme dansante,
La réponse fut courte, approbation et sourire...
Ensemble arpentant les funestes chemins du destin,
Où ne régnait que sanglots et les pires douleurs...
Pavés sanglants, vois cette lumière qui s'éteint,
Quand t'es rêves sombrent et que tu vois tout en pâleur...
Ces douloureuses épreuves nous ont permis à deux,
D'entrevoir nos démons et nos chaînes du passé,
Ce ne fut qu'une promesse faite dans l'intimité,
Une promesse en espérant vivre mieux...
Ensemble nous longeons les jardins de nos enfances,
Rire d'enfants, cris d'effroi, pleurs si seul... Et silence...
Herbes vertes, quelques occupations... Pas d'ennui...
Sur leurs têtes, une épée de Damochles luis...
Le jour habité par leurs petites présences...
La nuit hanté par leurs fantôme... Où tout est sombre...
Nos visages à moitié caché par cette ombre,
Nos sourire tel de fragile plat de faillance...
Nous reposant centre-ville près d'un musicien,
Émerveillé par les doux sons de son violon,
Nous en oublions l'énigmatique demain,
Laissons nous envahir par ce que nous vivons...
Et tant que l'on y est, pourquoi ne pas danser,
Ensemble, nous deux embarqué dans cette valse féerique...
Dansons ensemble afin d'oublier notre passé...
Mais... Qu'elle est ce sentiment énigmatique ?
Ensemble riant près des champs fleuris de pensées,
Blanches... Qui n'auront pas ternis au fils des années...
Malgré toutes les épreuves que nous avions du endurées,
Cet étrange sentiment, aujourd'hui, c'est révélé...
Mon cœur tel un ardent brasier amoureux,
S'ouvre à toi et te révèle sa flamme sentimentale,
Toi qui représente tant de choses à mes yeux...
Espérons juste que l'amour n'est pas chose létale...
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