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Juste pour rire

luron1er

Administrator
Membre du personnel
Un jour bien cogité.

Cette nuit là, j’étais devenu le con piqué,
Madame était ainsi surprise, Monsieur s’est épousseté,
Poli dans les bars, son aimant de vingt ans, comment expliquer !
En plein bricolage, elle ébruitant sous sa blouse d’été,
En elle, priant par petits bouts les saints,
Qui laissait lire sous les éclats sa rampe, ses secrets,
Et ce qui se lit, c’est escroquer au mildiou,
Oh ! Ce coq malin pour madame surprend ses loisirs à son cou,
Tra, la, la, ! Chansonnette que fredonne l’aube est là,
Celle-ci avait fini par m’avoir,
Et voici monsieur dans les bas de madame,
Pas commode, il en perd ses pieds,
J’étais tapi, sans mots, l’omoplate transie, l’œil en bas, envieux,
Ha ! Et encore une friandise de monsieur !
Mais la vielle femme est interloquée, renfermée, pas belle à voir !
Va satisfaire son horoscope, une insufflation bien souvent,
Dégage ! Dégage ! Vers l’infini vers les tartares,
Ton vieux le dit, des vers, tu vas en perdre les pieds,
A la rescousses, Je mate là quand elle s’écrie : Oh ! L’humour !
Ils vont me perturber, ces gueux la, c’est bien risible,
Mes bras exigent de comprendre le contresens,
Les stores instaurent des sourires,
Pas commode quand on est replié en deux,
Le rustre à la dernière place se raisonne,
Satire ! Satire ! Ecrit le ! Tiroir pour un respect verglacé,
Et monsieur se met à se réjouir, tellement porc,
Dans les groseilliers se débouchent les orteils, ils n’en peuvent plus,
Ha ! Par don, je complète l'histoire, suis-je le préposé ?
J’ai un supplément, je postule,
Ajax, dieu que je chambre en cette ronde bien cogitée,
Pour ce soir, enrayez bien les coups sans œil !
En aimant ? Il vous colle les points.

Oyez ! Oyez ! Ce cher baratin,
Cons, détruisez vous même cette grosse faim,
L'aimant c'est désamianté,
Trois fois, ils reculent et détestent les tabous, rayent. Bien dosé,
A.R.N s’identifiera à la personne en âge,
Mon vieux, que ce Zozio est en survoltage !
 
Un jour bien cogité.

Cette nuit là, j’étais devenu le con piqué,
Madame était ainsi surprise, Monsieur s’est épousseté,
Poli dans les bars, son aimant de vingt ans, comment expliquer !
En plein bricolage, elle ébruitant sous sa blouse d’été,
En elle, priant par petits bouts les saints,
Qui laissait lire sous les éclats sa rampe, ses secrets,
Et ce qui se lit, c’est escroquer au mildiou,
Oh ! Ce coq malin pour madame surprend ses loisirs à son cou,
Tra, la, la, ! Chansonnette que fredonne l’aube est là,
Celle-ci avait fini par m’avoir,
Et voici monsieur dans les bas de madame,
Pas commode, il en perd ses pieds,
J’étais tapi, sans mots, l’omoplate transie, l’œil en bas, envieux,
Ha ! Et encore une friandise de monsieur !
Mais la vielle femme est interloquée, renfermée, pas belle à voir !
Va satisfaire son horoscope, une insufflation bien souvent,
Dégage ! Dégage ! Vers l’infini vers les tartares,
Ton vieux le dit, des vers, tu vas en perdre les pieds,
A la rescousses, Je mate là quand elle s’écrie : Oh ! L’humour !
Ils vont me perturber, ces gueux la, c’est bien risible,
Mes bras exigent de comprendre le contresens,
Les stores instaurent des sourires,
Pas commode quand on est replié en deux,
Le rustre à la dernière place se raisonne,
Satire ! Satire ! Ecrit le ! Tiroir pour un respect verglacé,
Et monsieur se met à se réjouir, tellement porc,
Dans les groseilliers se débouchent les orteils, ils n’en peuvent plus,
Ha ! Par don, je complète l'histoire, suis-je le préposé ?
J’ai un supplément, je postule,
Ajax, dieu que je chambre en cette ronde bien cogitée,
Pour ce soir, enrayez bien les coups sans œil !
En aimant ? Il vous colle les points.

Oyez ! Oyez ! Ce cher baratin,
Cons, détruisez vous même cette grosse faim,
L'aimant c'est désamianté,
Trois fois, ils reculent et détestent les tabous, rayent. Bien dosé,
A.R.N s’identifiera à la personne en âge,
Mon vieux, que ce Zozio est en survoltage !



il n'y a pas erreur sur le topic
je le verrai plus dans la catégorie poème