Moi et ma plume
Oh non ma plume oublie ma douleur
Non pas ce soir non, je ne veux pas pleurer
Je veux dormir ce soir, fatigué de mes huit heurs
Et croire encore, qu'elle est en vie
Et même si elle a goûter a la mort
Oh ma plume ai de moi pitié
Mais dis-moi que veux-tu écrire encore cette nuit
Ne réveille pas s’il te plait, mes atroces douleurs
Dans mes écrits tu sais, moi, j’ai tout puisé
Et que mon grand amour, pour elle, jamais ne meurt
Même moi ailleurs, le corps enterré
De toutes mes forces, oui j’ai aimé cette fleur
Derrière cette peau, avant qu’elle soit née
Neuf mois d’attente en moi, j’ai bâti un fort
Avec mille couleurs de marbres, je l’ai décoré
Et avec de la lumière, j’ai tissé une fleur
Pour l’offrir a ma belle, lorsque elle va respirer
Pardon monsieur ce n’est pas ma faute
À ton cœur tu sais, moi, je ne fais qu’obier
Une atroce douleur, fait que les larmes montent
Et moi comme toujours, avec lui je pleure aussi
Avec mes mots tristes aux mille fautes
Si je m’arrête tu sais, le cœur va s’exploser
Le trop plein de se cœur, provoque une morte lente
Et moi je ne veux pas le laissé ainsi
Je pleure cet homme-là devant moi qui se fane
Et de toutes ses larmes par terre, qui ont tombé
Je pleure ces mots tristes, et ce cœur en panne
Et pourtant, ce cœur, comme il sait chanter
Oh si vous l’avez connu avant le drame
Souriant tout le temps, un homme a aimé
Je pleure une beauté, que le cœur imagine
Et une voix divine, que son être ignorait
Je pleure une douceur, les mains d’une gamine
Un sourire un visage, que le cœur inventé
Et cette immense douleur, sous sa poitrine
Je pleure un corps, qu’il ne l'a pas senti
Et cette odeur, de ses racines
je pleure ce bonheur, qu'il c'est évaporer
le jour ou elle est née, entre joie et peine
Je pleure cette nuit-là, où ils l’ont volé
Et cette longue attente, qui assassine
Je pleure ces fils d'or de sa chevelure, qu’il n’a pas peignée
Et sa fontaine triste aux mille larmes fines
Et la soif de son âme de ne pas la serrer
Je pleure et je pleure, car il pense qu’il n’est pas digne
Il pense que sa fleur croit qu’il l'a abandonné
Parti dans un corps volé par la lune
Et pourtant il l’a vraiment aimé
Je pleure mes mots triste avec ou sans rimes
Que chaque soir pour lui moi, j’ai écrit
Je pleure sa propre mort, que je devine
Loin de sa petite fleur, le mort va pleurer
Oui je pleure cet homme là, et je m’incline
Pour son grand amour pour sa fille
Tais-toi ma plume tes mots chagrinent
S’il te plaît arrête et laisse tombée
N’écoute pas le cœur, il ne raisonne
Il pleure le jour même la nuit
C’est lui qui m’a mis dans la saison d’automne
Et pourtant au printemps que suis né
L’hiver est mon seul saison il me consume
Et mes larmes se mélangent aux gouttes de pluie
Le cœur me blâme et l’envie qui m’emporte
Et le merle que j’aime mes branches, a quitté
Loin de lui, je saigne a qui est la faute
Quand je pense au drame oui mes larmes vont montées
J’ai pleuré des jours, j’ai hurlé des nuits
Sans voix dans mon cœur en souriant
Comme un triste fou tout le monde le fuit
Et dans les mosquées a l’aube j’ai crie « OH Dieu »
L’aimer d’hier pourquoi il m’a trahi
Et pourtant j’ai donné de moi-même le meilleur
Quel genre de cœur, elle a pour être ainsi sans pitié
Pour elle l’amour, ce n’est qu’une poupée des jours
Avec le temps, elle va la jeter
Mais l’envie me brûle de voir mon amour
Sa voix en or et son unique beauté
Mon cœur me questionne chaque nuit et jour
Mes larmes et ces brûlures de ces questions sans pitié
Ils ont détruit mon cœur ont me volent ma fleur
Ceux que j’ai aimés hier ils deviennent ennemis
J’ai cherché mon âme elle était ailleurs
Auprès de ceux que j’aime à parler a leurs cœurs
Quand cesseront leurs haines et les rancunes de toujours
Pour que mes peines un jour s’en aillent de mon cœur
Je me suis plainait au printemps des fleurs
De leurs nectar est-ce qu’il guérit
Parce que cette fleur a détruit mon cœur
Au fond de mon être elle m’a piquée
J’ai parlé au vent, de ma fille et de son parfum
Pourquoi les vents me font toujours tort
Est-ce que pour oublie, il faut du vin ?
Et pourtant ivre tout le temps moi par la douleur
J’attends avec patient le sourire du destin
Pour que je puise un jour cueillir en beauté ma fleur
Et sentir en moi son beau parfum
Même si après ça moi je meurs
Là-bas surement elle sera dans mes bras
Mais ici je n’ai que mes écritures
Je l’aime
Mustapha
Oh non ma plume oublie ma douleur
Non pas ce soir non, je ne veux pas pleurer
Je veux dormir ce soir, fatigué de mes huit heurs
Et croire encore, qu'elle est en vie
Et même si elle a goûter a la mort
Oh ma plume ai de moi pitié
Mais dis-moi que veux-tu écrire encore cette nuit
Ne réveille pas s’il te plait, mes atroces douleurs
Dans mes écrits tu sais, moi, j’ai tout puisé
Et que mon grand amour, pour elle, jamais ne meurt
Même moi ailleurs, le corps enterré
De toutes mes forces, oui j’ai aimé cette fleur
Derrière cette peau, avant qu’elle soit née
Neuf mois d’attente en moi, j’ai bâti un fort
Avec mille couleurs de marbres, je l’ai décoré
Et avec de la lumière, j’ai tissé une fleur
Pour l’offrir a ma belle, lorsque elle va respirer
Pardon monsieur ce n’est pas ma faute
À ton cœur tu sais, moi, je ne fais qu’obier
Une atroce douleur, fait que les larmes montent
Et moi comme toujours, avec lui je pleure aussi
Avec mes mots tristes aux mille fautes
Si je m’arrête tu sais, le cœur va s’exploser
Le trop plein de se cœur, provoque une morte lente
Et moi je ne veux pas le laissé ainsi
Je pleure cet homme-là devant moi qui se fane
Et de toutes ses larmes par terre, qui ont tombé
Je pleure ces mots tristes, et ce cœur en panne
Et pourtant, ce cœur, comme il sait chanter
Oh si vous l’avez connu avant le drame
Souriant tout le temps, un homme a aimé
Je pleure une beauté, que le cœur imagine
Et une voix divine, que son être ignorait
Je pleure une douceur, les mains d’une gamine
Un sourire un visage, que le cœur inventé
Et cette immense douleur, sous sa poitrine
Je pleure un corps, qu’il ne l'a pas senti
Et cette odeur, de ses racines
je pleure ce bonheur, qu'il c'est évaporer
le jour ou elle est née, entre joie et peine
Je pleure cette nuit-là, où ils l’ont volé
Et cette longue attente, qui assassine
Je pleure ces fils d'or de sa chevelure, qu’il n’a pas peignée
Et sa fontaine triste aux mille larmes fines
Et la soif de son âme de ne pas la serrer
Je pleure et je pleure, car il pense qu’il n’est pas digne
Il pense que sa fleur croit qu’il l'a abandonné
Parti dans un corps volé par la lune
Et pourtant il l’a vraiment aimé
Je pleure mes mots triste avec ou sans rimes
Que chaque soir pour lui moi, j’ai écrit
Je pleure sa propre mort, que je devine
Loin de sa petite fleur, le mort va pleurer
Oui je pleure cet homme là, et je m’incline
Pour son grand amour pour sa fille
Tais-toi ma plume tes mots chagrinent
S’il te plaît arrête et laisse tombée
N’écoute pas le cœur, il ne raisonne
Il pleure le jour même la nuit
C’est lui qui m’a mis dans la saison d’automne
Et pourtant au printemps que suis né
L’hiver est mon seul saison il me consume
Et mes larmes se mélangent aux gouttes de pluie
Le cœur me blâme et l’envie qui m’emporte
Et le merle que j’aime mes branches, a quitté
Loin de lui, je saigne a qui est la faute
Quand je pense au drame oui mes larmes vont montées
J’ai pleuré des jours, j’ai hurlé des nuits
Sans voix dans mon cœur en souriant
Comme un triste fou tout le monde le fuit
Et dans les mosquées a l’aube j’ai crie « OH Dieu »
L’aimer d’hier pourquoi il m’a trahi
Et pourtant j’ai donné de moi-même le meilleur
Quel genre de cœur, elle a pour être ainsi sans pitié
Pour elle l’amour, ce n’est qu’une poupée des jours
Avec le temps, elle va la jeter
Mais l’envie me brûle de voir mon amour
Sa voix en or et son unique beauté
Mon cœur me questionne chaque nuit et jour
Mes larmes et ces brûlures de ces questions sans pitié
Ils ont détruit mon cœur ont me volent ma fleur
Ceux que j’ai aimés hier ils deviennent ennemis
J’ai cherché mon âme elle était ailleurs
Auprès de ceux que j’aime à parler a leurs cœurs
Quand cesseront leurs haines et les rancunes de toujours
Pour que mes peines un jour s’en aillent de mon cœur
Je me suis plainait au printemps des fleurs
De leurs nectar est-ce qu’il guérit
Parce que cette fleur a détruit mon cœur
Au fond de mon être elle m’a piquée
J’ai parlé au vent, de ma fille et de son parfum
Pourquoi les vents me font toujours tort
Est-ce que pour oublie, il faut du vin ?
Et pourtant ivre tout le temps moi par la douleur
J’attends avec patient le sourire du destin
Pour que je puise un jour cueillir en beauté ma fleur
Et sentir en moi son beau parfum
Même si après ça moi je meurs
Là-bas surement elle sera dans mes bras
Mais ici je n’ai que mes écritures
Je l’aime
Mustapha
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